
drawings

aquarelle crayon de couleur A3

aquarelle crayon de couleur A3

aquarelle et crayon de couleur .50x35cm

aquarelle crayon de couleur A3


100x120cm huile, acrylique, spray,

Acrylique, aquarelle, crayon de couleur 160X200cm

paintings




digitals drawings
pencils
wathercolors
URBAN JUNGLE
Images d’une libre vie en marge, les
scènes peintes par Amandine Levy tracent
la dérive de sa génération. Ses peintures
ont toutes pour point de départ des photos
numériques, comme des traces du réel,
témoignages d’instants de vie, ayant leurs
propres histoires.
L’artiste capture d’innombrables rêves,
extases et secrets de proches ou
d’inconnus.
Ces scènes fonctionnent dans l’ensemble
par groupe, sans mise en scène. Elles
nous montrent une réalité que l’on cherche
souvent à cacher, des moments d’intimité,
d’oubli, d’interdit, de plaisir. Le spectateur
vacille entre le mal et le beau, la
décadence et la grâce, le sale et le drôle.
Elles nous donnent à contempler un
quotidien à travers un réalisme cru qui
offre ce que l’on ne veut voir.
La vitesse, l’instantané, la diffusion, le
stockage, sont autant de possibilités que
nous offrent les moyens techniques
d’aujourd’hui ; pourtant ici l’artiste a la
volonté de donner plus de valeur à
certaines photos, pour qu’elles ne se
noient pas à travers les flots discontinus
d’images qui pullulent autour de nous.
En allant de la photographie à la peinture
le temps s’inverse, se quantifie. On passe
alors d’une image produite en une fraction
de seconde à une image qui demande des
dizaines d’heures de travail.
La peinture vient également donner à
l’image une existence concrète, l’image
numérique est à la fois immatérielle,
démultipliable, la toile peinte se présente
par contre comme un objet unique visible
dans un contexte particulier.
Les peintures viennent donc donner aux
images un autre statut ; elles les
sacralisent de par le médium, le
traitement, le format.
L’utilisation de la peinture amène aussi
une certaine ambiguïté - le médium
n’ayant plus valeur de preuve -, ces
images témoignent-elles finalement du
moment vécu ou sont-elles fantasmées ?
Quelle est la part d’interprétation?
entre illusion et voyage initiatique...
Il y a ici la volonté de s’inscrire dans
l’histoire de l’art.
Les compositions et techniques utilisées
s’imprègnent à la fois de l’univers urbain et
de la peinture classique de par le
traitrement et les choix des sujets (portrait
/ paysage).
Elles empruntent également les codes de
la photographie dont elles s’inspirent par
le choix des cadrages et des éclairages.
Rejoués à l’aune d’un lent travail de
recollection, ces instants se parent des
émotions de l’artiste.
Dans une constante recherche picturale,
Amandine Levy alterne lavis acryliques,
aquarelles, encre, coulures et méticuleux
tracés à l’huile.
Par le mixage des techniques de dessin et
peintures on ressent le besoin de brouiller
les codes classiques (ex : aquarelle et
crayon de couleur sur toile)
Le passage allant d’une image imprimée
mécaniquement , à la cohabitation de
différents langages picaturaux est au
centre de sa démarche.
Les techniques utilisées amènent une
fragmentation du regard grâce aux
éléments de matières différentes mettant
ainsi en valeur des détails: corps,
tatouage, tissus,motifs nature, détail
urbain ou végétal... Le travail des coulures
raconte quand à lui le processus de
peindre. Elles montrent la gamme de
couleur avant le mélange et la
représentation. Croisant de vives couleurs
au noir et blanc, Amandine redonne vie à
ses personnages. Elle retrouve sur leurs
corps et leurs vêtements les signes
identitaires de son monde. Ainsi
transfigurés, les membres de sa tribu
deviennent les icônes d’un temps
présent.Les peintures nous font participer
involontairement à l’élaboration du
souvenir.
De ses voluptueuses réminiscences
surgissent des figures étrangement
familières. Comme face à nous-mêmes,
nous connaissons l’étrange expérience du
rêve éveillé.
COLOR PENCILS

crayon de couleur format A3

crayon de couleur format A3

crayon de couleur format A3

crayon de couleur format A3
Amandine Levy, Amélie de Brouwer et Emeline Depas inaugurent avec l'exposition "SHARE" un travail combinatoire de leurs approches respectives.
Leur concorde entrouvre des brèches et questionne leurs propres limites.
Amandine Levy figure les traits intimes de proches. Amélie De Brouwer trame sans relâche la surface. Emeline Depas constelle l'ensemble de traces vivantes.
Chacune amorça plusieurs feuilles blanches. En alternance, elles glissèrent dans l'imaginaire esquissé par l'autre.
Face à ces entrelacs, notre oeil suit l'étreinte de ces divers motifs. Il pourchasse aussi les appartenances singulières.
La déclinaison en douze dessins offre une étrange et sensible partition de trois regards et six mains.

huile sur toile

crayon de couleur /aquarelle


huile sur toile
REMEMBERING
performance live au musée juif de bruxelles avec destruction.
Au cours du vingtième siècle, les individus ont reçu des informations par le bouche-à-oreille et par le biais de lettres, la radio et la télévision ou les éditeurs de journaux et de livres. Aujourd’hui, les flux d’information sont dorénavant étendus, diversifiés, réversibles et accessibles . L’information se répand instantanément à travers la planète. Des informations qui étaient difficilement accessibles dans le passé peuvent être aujourd’hui publiées grâce aux nouveaux mediums que sont Twitter ou Facebook. Ces nouveaux moyens de communication ont révolutionné la vitesse, la diffusion et le stockage. Ainsi defile sur notre “fil d’actualité” un certain nombre d’image sans hierachie aucune , un ami entrain de boire un verre a une terrasse , ou la nouvelle d’un attentat au moyen orient qui a fait des milliers de morts . On en vient donc a se demander comment la memoire individuel fonctionne face a se nombre d’information , que retient elle , pourquoi certaine image plus que d’autre , et on encore capable de faire la part des choses , ou tout simplement de voir encore , noyer dans ma masses d’image de l’air numerique .
Ici l’artiste a eu la volonté , tout dabord de nous metre face a une forme de surchargement , l’illisibilité assumer nous remet dans le contexte dans lequel nous apprehendont le monde au quotidie et par la suite de nous presenter certains photos-événements marquants des 15 premières années du nouveau millénaire. Ces images mixés, confronté les une aus autres et non plus vu isolement elles nous raconte une autre histoire.
Le spectateur se retrouve confronter a faire appel a sa memoire , plongées dans un perpétuel bombardement d’information, se souviens t il ,de ses evenements ? de quant dates il ? On realise soudain a quel point nous oublions , et nous en venons a nous questioner sur comment notre memoire fonctionne t elle ? nous protégé t elle nombre d ‘image violente auquel nous somme confronté ? somme nous manipulé ? somme nous des etres futiles plus marqué par le souvenir d’une fete entre amis qu’une catastrophe naturelles ?
L’artiste pose ici la question de la construction de la mémoire collective : comment passe-t-on de la multiplicité de l’information à l’unicité d’une mémoire collective ? Ces photos, ces événements participent à la création d’une mémoire collective. Au filtre de cette mémoire ceux-ci structurent la construction de notre identité collective. Le thème de la mémoire collective, qui touche de manière essentielle la question de cohésion sociale assume pourtant un rôle singulier dans le contexte hétérogène de nos sociétés contemporaines.
Le travail Amandine levy a toujours questioner notre rapport a la memoire , auparavant comme un temoin de sa generation elle se reapropriait les images prise par les telephones portable temoin de moment de vie , plus intimiste . D’un point de vue technique , les moyens mis en peuvres reste les memes en allant de la photographie à la peinture le temps s’inverse, se quantifie. On passe alors d’une image produite en une fraction de seconde à une image qui demande des dizaines d’heures de travail. La peinture vient également donner à l’image une existence concrète, l'image photographique est à la fois immatérielle et démultipliable, la toile peinte se présente par contre comme un objet unique visible dans un contexte particulier. Les peintures viennent donc donner aux images un autre statut ; elles les sacralisent de par le médium, le traitement, le format.